Parce que "le langage est source de malentendu" et que "ce que j'ai à dire n'est pas plus beau que le silence",
Aujourd'hui,
Je vais me taire.
Aujourd'hui,
Je vais me taire.
Simple-Art
Simply reality
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Mardi 12 janvier 2010 à 20:53
Nous sommes le Mardi 12 Janvier 2010.
Il neige. Et depuis un moment quand je vois de la neige je ne peux m'empêcher de penser à Saez.
Il neige. Et depuis un moment quand je vois de la neige je ne peux m'empêcher de penser à Saez.
A ST Petesbourg
La neige tombe
C'est Dieu qui pleure
L'histoire du monde
Saez
La neige tombe
C'est Dieu qui pleure
L'histoire du monde
Saez
Les derniers flocons remontaient à quelques jours. Revoir les paysages surmontés de neige m'ont remplis de joie. Cela faisait longtemps que ce n'était pas arrivé dans la région.
Vendredi dernier, le 8 Janvier, 7h du matin. Seul. Dans une villes qui ne s'est pas réveillé. Je marchais seul, à travers les rues vides vers mon lycée où de toutes façon je n'avait pas cours. Bien sûr, je me suis fait traiter de lèche-cul et tout le tralala, mais rien ne remplacera ce moment où seul, je levais la tête vers le ciel blanc. D'où les flocons me balayais le visage jusqu'à me faire mal.
Mais aujourd'hui, le temps avait repris ses droit et la neige fondait petit à petit, redécouvrant un paysage vert parsemé de blanc. Enfin, jusqu'à maintenant.
Vendredi dernier, le 8 Janvier, 7h du matin. Seul. Dans une villes qui ne s'est pas réveillé. Je marchais seul, à travers les rues vides vers mon lycée où de toutes façon je n'avait pas cours. Bien sûr, je me suis fait traiter de lèche-cul et tout le tralala, mais rien ne remplacera ce moment où seul, je levais la tête vers le ciel blanc. D'où les flocons me balayais le visage jusqu'à me faire mal.
Mais aujourd'hui, le temps avait repris ses droit et la neige fondait petit à petit, redécouvrant un paysage vert parsemé de blanc. Enfin, jusqu'à maintenant.
Je pense trop et je pense mal. Je réfléchis trop et je réfléchis mal. La Vague de Nostalgie revient et m'emporte. S'il m'était donné le choix de refaire ma vie, comme au théâtre, sans rien changer, juste regarder. Revivre. Ressentir. Sans hésiter, je dis Oui.
J'aime écrire et pourtant j'écris mal. J'aime vivre et pourtant je vis mal. J'aime aimer et pourtant j'aime mal.
Tant que je vivrais, je ne serais jamais que le second.