Depuis maintenant plus d'une heure, je suis seul.
La ville s'éveille petit à petit. J'écris de mon portable, seul dernier rampart contre la solitude que je fuis comme la peste. Derrière la vitre du bar, devant ma tasse maintenant vide, je vois passer des centaines de personnes. Les gouttes s'écrasent les une après les autres sur la vitre à coté de moi.
Tout annonce l'automne. Je deteste ça.
La ville s'éveille petit à petit. J'écris de mon portable, seul dernier rampart contre la solitude que je fuis comme la peste. Derrière la vitre du bar, devant ma tasse maintenant vide, je vois passer des centaines de personnes. Les gouttes s'écrasent les une après les autres sur la vitre à coté de moi.
Tout annonce l'automne. Je deteste ça.
Tout ça me plaît. Mais l'automne déterre bien des émotions, il faut savoir gérer ça.