Ecrire pour oublier #2
Je t'aime
Voila. Je ne savais pas comment commencer cet article et je pense que c'est le meilleur moyen. Tout d'abord parce que ça résume tout ce que je ressent en simplement quelques mots. Ces même quelques mots que je ne pourrais jamais te dire en face.
C'est bête. Tout ça m'est tombé sur le coin de la figure assez rapidement. En fait, depuis le temps que je te connais, ça l'a peut-être toujours été.
Et j'en souffre encore plus, justement, parce que cela fait un bon moment que je te connais.
Et c'est là que je me rend compte de tout. Toi, tu ne m'accordes presque pas un regard. Les seules fois où tu me regardes, je me demande si tu vois la flamme dans mes yeux qui brûle pour toi. Je me demande si tu ressent ce serrement de coeur si particulier chaque fois que je croise tes yeux d'or. Cette sensation que j'ai chaque fois de capter un souffle d'ange.
Toi tu ne m'aimes pas. Je le sais. C'est dommage mais c'est comme ça. C'est la vie, non?
En fait tu en aimes un autre.
Plus tout ceux qui sont derrière tes talons. Tout ceux qui sont là, tout comme moi en fait. Je me confonds dans la masse et je me noie, comme un gamin qui ne sais pas nager mais qui veut quand même aller là où il n'a pas pieds.
Je vais me stopper là. En fait, j'avais vraiment besoin d'écrire tout ça. Pour qui? Pour quoi? Pour moi, tout simplement. Je sais très bien que les visites de mon blog sont aussi grande que le vide qui sépare mes deux oreilles. Comme une confession.
J'aurais plutôt besoin de crier un grand coup, mais j'aurais trop peur que tu m'entendes.
C'est bête. Tout ça m'est tombé sur le coin de la figure assez rapidement. En fait, depuis le temps que je te connais, ça l'a peut-être toujours été.
Et j'en souffre encore plus, justement, parce que cela fait un bon moment que je te connais.
Et c'est là que je me rend compte de tout. Toi, tu ne m'accordes presque pas un regard. Les seules fois où tu me regardes, je me demande si tu vois la flamme dans mes yeux qui brûle pour toi. Je me demande si tu ressent ce serrement de coeur si particulier chaque fois que je croise tes yeux d'or. Cette sensation que j'ai chaque fois de capter un souffle d'ange.
Toi tu ne m'aimes pas. Je le sais. C'est dommage mais c'est comme ça. C'est la vie, non?
En fait tu en aimes un autre.
Plus tout ceux qui sont derrière tes talons. Tout ceux qui sont là, tout comme moi en fait. Je me confonds dans la masse et je me noie, comme un gamin qui ne sais pas nager mais qui veut quand même aller là où il n'a pas pieds.
Je vais me stopper là. En fait, j'avais vraiment besoin d'écrire tout ça. Pour qui? Pour quoi? Pour moi, tout simplement. Je sais très bien que les visites de mon blog sont aussi grande que le vide qui sépare mes deux oreilles. Comme une confession.
J'aurais plutôt besoin de crier un grand coup, mais j'aurais trop peur que tu m'entendes.
Tu fais erreur : moi je te lis (in your ass, si tu pensais pouvoir ecrire sans recevoir un commentaire ou quoi).
De qui / à qui parles-tu ? Deprime pas mon p'tit Thomas ... Ca arrive, de tels chagrins. tu te dis que, vu comme cest tenace actuellement, ça passera pas, pire qu'une sangsue. Mais on finit toujours par passer à autre chose, oublier, mettre de coté. C'est triste un peu, mais en meme temps, tant mieux. Dans quelle merde on serait tous sinon ...
Enfin bref. Je suis de retour (oui je m'étais isolée une bonne semaine à Lyon, l'ordinateur et mon telephone m'ont très peu servi), donc si tu veux parler, je pense etre là (enfin sur msn, ou meme je peux t'appeler ou quoi si besoin est) tous les soirs, juste pour toi s'il le faut.
J'espère quand meme que tes vacances ont bien débuté , malgré ce bad continu ... Je te fais de gros bisous <3